En voyant arriver le Président, Alexandre Benalla agita les bras frénétiquement et donna de la voix. Le déclenchement de l’Armageddon n’avait pas réussi à gâter sa mâle assurance.
Au fond, tout tenait dans ces quelques gouttes de sueur, terreur liquide perlant sur le visage ravagé de ce quadra hier encore si arrogant. Le genre d’homme auquel rien n’avait jamais vraiment résisté. L’image même d’une trajectoire rectiligne, ascensionnelle.