Le boucher se se salit même pas les mains, il laisse faire les larbins et profite du spectacle. Il insinue le poison par ses mots, dégoûte l'enfant de lui-même par la parole, le tord pour mieux se plaindre ensuite qu'il soit tordu. Il agit ainsi jusqu'à ce que l'enfant né soit plus qu'une ombre, qu'il ne lui en fasse plus.