Nationalité : États-Unis
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Biographie :
Diplômée en littérature anglaise, en sciences politiques et en sciences religieuses de Barnard College à New York, Megan Frampton est écrivain.
Elle a travaillé pendant quinze ans dans le domaine de l'industrie musicale.
Elle publie des romances historiques sous son vrai nom, et des romances contemporaines sous le pseudonyme de Megan Caldwell.
Elle vit à Brooklyn avec son mari et son fils.
son site : http://meganframpton.com/
page Facebook : https://www.facebook.com/meganframptonbooks/
Twitter : https://twitter.com/meganf
Diplômée en littérature anglaise, en sciences politiques et en sciences religieuses de Barnard College à New York, Megan Frampton est écrivain.
Elle a travaillé pendant quinze ans dans le domaine de l'industrie musicale.
Elle publie des romances historiques sous son vrai nom, et des romances contemporaines sous le pseudonyme de Megan Caldwell.
Elle vit à Brooklyn avec son mari et son fils.
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Citations et extraits (9)
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– File dès aujourd'hui ! Qu'il sache que l'exubérante et merveilleuse Lady Lavinia est amoureuse de lui. Il serait bien stupide de ne pas te reprendre.
Lavinia grimaça.
– Nous sommes donc tous les deux des imbéciles ?
– Vous avez au moins un point commun, acquiesça Jane d'un air espiègle.
Lavinia grimaça.
– Nous sommes donc tous les deux des imbéciles ?
– Vous avez au moins un point commun, acquiesça Jane d'un air espiègle.
Manifestement, le principe selon lequel on ne devait jamais contredire un homme de son rang était beaucoup moins connu que Marcus ne l’avait supposé. Il faudrait qu’il ait une petite discussion avec l’auteur des principes en question.
Certes, les gens n’ont pas à juger de quelque chose qui ne les regarde pas, mais on ne peut pas les empêcher de parler.
En général, Lily n’était pas du genre à prendre des risques — c’était même le contraire, en fait — mais, là, elle sut que ce n’était pas le moment de se montrer trop scrupuleuse, comme elle s’était efforcée de le devenir après s’être débarrassée — pour toujours, espérait-elle — de son propre passé.
S’exposer et se mettre en danger, soi-même et sa famille, était une chose terrible que son père avait faite au détriment des siens. Mais il ne fallait pas qu’elle pense à cela maintenant, ni aux souffrances qu’avait endurées sa sœur, ni à la façon dont sa mère avait baissé les bras par la suite.
S’exposer et se mettre en danger, soi-même et sa famille, était une chose terrible que son père avait faite au détriment des siens. Mais il ne fallait pas qu’elle pense à cela maintenant, ni aux souffrances qu’avait endurées sa sœur, ni à la façon dont sa mère avait baissé les bras par la suite.
Le mariage, il y avait sérieusement songé lorsqu’il avait fréquenté quelqu’un, un peu plus d’un an auparavant. Mais, avant qu’il ait pu décider s’il souhaitait l’épouser ou non, elle s’était fiancée avec un autre. Il était donc célibataire et déterminé à le rester, tout du moins tant qu’il ne serait pas certain d’avoir rencontré la femme de sa vie.
Toutefois, il n’allait pas renoncer aux plaisirs de la chair simplement parce qu’il était pessimiste quant à ses chances de trouver le bonheur à long terme. Le plaisir éphémère ferait l’affaire pour l’instant.
Toutefois, il n’allait pas renoncer aux plaisirs de la chair simplement parce qu’il était pessimiste quant à ses chances de trouver le bonheur à long terme. Le plaisir éphémère ferait l’affaire pour l’instant.
L’avantage d’être duc, c’est qu’il n’avait aucune explication à donner. Il lui suffisait d’exprimer sa volonté. « Il faut que tu partes », ou « Je veux des fraises » en plein hiver ; ou encore « Transportez tous les meubles d’une aile de la maison à l’autre ». Ces deux ordres-là, il ne les avait pas donnés — pas encore, du moins — mais il n’excluait pas de le faire si cela pouvait enfin lui apporter le bonheur.
L’anticipation ! Voilà ce qu’il aimait quand il était en charmante compagnie : se demander à quoi sa compagne ressemblerait quand elle se laisserait aller, comment son corps réagirait à ses caresses, et l’imaginer se tordre de plaisir entre ses mains. L’acte en lui-même n’était pas dénué de satisfaction, bien entendu, mais personne n’avait encore su se montrer à la hauteur de ses attentes.
Chaque fois qu’il se retrouvait entre les draps avec une nouvelle conquête, il espérait trouver celle qui lui ferait atteindre le septième ciel et oublier tout le reste pendant quelques instants de pur bonheur ; celle avec qui il serait capable de s’abandonner et qui serait son égale, sur le plan tant sexuel qu’intellectuel et émotionnel.
Pour éduquer une jeune fille, il faut s’adapter à chaque personnalité, il n’y a pas de méthode toute faite. Elles ont chacune des aptitudes différentes.
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