De plus on a constaté qu’en provoquant délibérément la peur, la colère ou l’anxiété, on augmentait la vulnérabilité de l’animal aux suggestions. Si ces émotions sont maintenues au paroxysme pendant assez longtemps, le cerveau se met en grève et ensuite rien n’est plus aisé que d’implanter de nouveaux comportements.