"Ce type, il est génial: il arrive à m'intéresser à une histoire, un personnage, dont je n'ai rien à foutre ", me disais-je en avançant dans un récit qui m'intriguait, me passionnait et que, tel un lecteur de polar (que ne suis pas), je n'ai pu lâcher avant d'entrevoir la solution de l'énigme au bout de quatre-cent pages- qui ne pèsent pas. Ce petit miracle s'appelle -Le Fléau (...)
Et pour cette enquête Van reybrouck parcourt l'Afrique du Sud dont il nous trace un tableau hautement contrasté. (p.381)