Tout ça je l’ai déjà radoté non ? je redis quand même à cause que le souvenir clic-clac, instantané touristique, je peux pas, faut que je retâte le sentiment, que le picotis de la nostalgie me rechatouille, que la douleur refouille. Alors seulement, j’y suis, l’évocation supporte les mots, je cicatrise à coups de balivernes qui regardent que moi, mais si je l’ai dis pas, comment je fais pour pas crever ?