Il voyait l’Abomination.
Exprimée dans ses pires travers, ses extravagances démentes, ses appétits obscènes et ravageurs. Ses joies et ses jouissances maléfiques.
Sa cruauté sensuelle et sa beauté pourrissante.
Exhalant son odeur acre, épicée, brûlante. Son fumet à la fois tentateur et délétère.