La mer, c'est un rêve. Je n'ai jamais vu la mer. (...)
J'imagine, j'invente un mer d'un bleu qui n'existe sans doute pas,
toujours calme et apaisante, sans gros rouleaux, sans ressac, sans danger.
Et chaude. J'aimerais que chaque personne qui regardera éventuellement
mon tableau ait envie de s'y baigner. Sous ce ciel infini. Et de ne jamais
en ressortir. (p. 14)