Une feuille journalière, où l'on rappellerait aux principes le législateur, où l'on démasquerait les fripons, les prévaricateurs, les traites, où l'on dévoilerait tous les complots, où l'on éventerait tous les pièges, où l'on sonnerait le tocsin à l'approche du danger....
C'est en ces termes que Marat a défini le but qu'il avait assigné à L'Ami du peuple.