Le pessimisme de Marat lui souffle qu'il est dans la nature des représentants du peuple de chercher à lui forger des fers. Il prône la démocratie directe :
Rendre précaires les pouvoirs des députés, les soumettre au contrôle incessant et vigilant du peuple souverain grâce au droit de les révoquer, d'examiner et discuter leurs délibérations, de voter par voie de référendum sur toute loi importante.