Souvent on débute par proposer quelques légères réformes qui n'indiquent rien de convenables. On les énonce par des propositions générales, assez plausibles au premier coup d'oeil, et cachant des conséquences qu'on n'aperçoit pas d'abord, mais dont on ne tarde pas à se prévaloir, et dont on tire des avantages prévus.
Ou bien, on ajoute à la fin quelque article, qui détruit ce que les premiers offrent d'avantageux, et qui ne laisse subsister que ce qu'ils contiennent de funeste.