Même pour les Russes, ce qui se passe alors est ahurissant, absurde, intolérable. La tsarine a reçu du tsar des pouvoirs étendus qu’elle met littéralement aux pieds de Raspoutine : elle sent passer en elle l’esprit de « l’homme de Dieu » dont elle est devenue, tout comme Viroubova, l’esclave.