- Si on allait au Rat mort, place Pigalle ? proposa-t-elle. Il parait qu'on y mange des huitres et des écrevisses et qu'on y rencontre des peintres et des écrivains.
Quentin lui lâcha le bras.
- Si tu n'y vois pas d'inconvénient, je préfèrerais un lieu où il n'y a ni rat ni mort.
Ils négligèrent les gargotes enfumées du début de la rue des Abbesses, fréquentées par des marlous, empruntèrent la rue Tholozé, puis la rue Durantin. (p. 36)