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Le premier convoi 1848 de Michèle Perret
— Des cailloux, des cailloux et encore des cailloux, grinçait Raoul en contemplant sa sinistre concession. — Nous sommes partis pour trouver une vie meilleure, lui rappela sa femme. — Eh bien, crois-moi, Jeanne, ce n’est pas ici que nous la trouverons. Jeanne haussa les épaules. Les vies meilleures toutes faites n’existent pas. Elle était d’avis qu’il fallait essayer d’en construire une. (p. 177) |