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Citations de Michelle Labrèche-Larouche (30)


Niko avait le don de me faire vite monter au ciel en me caressant partout avec sa bouche, d’abord de douce manière, puis par des attouchements lents et insistants, tournant autour de mes seins, de mon ventre, de mes fesses et de mon sexe. Je le suppliais pour qu’il me libère de ce désir insupportable, qui ne demandait qu’à être apaisé. Côté cris, j’étais plus discrète que lui au début de nos ébats. Cela ne durait pas. Très vite, je le précédais dans l’extase. Je ne sais pas à quel âge il avait eu sa première blonde, mais il était expert en corps des femmes.
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Si j’avais rencontré cet homme à 15 ans aurais-je eu une vie de famille avec plusieurs enfants? Comme lors de mon premier mariage, au bout d’un certain temps, m’aurait-il manqué quelque chose?
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Comme la passion (qui n’a pas d’âge) exalte, si elle revient, je travaillerai à m’en reposer, au minimum quelques heures par jour. Je n’ai plus l’endurance d’avant! Mais j’apprends encore. Je suis bien en selle et ne raterai ni mes futurs galops ni ma sortie. Du moins, j’y aspire. Toute vintage que je sois, je ne renonce à rien. Il n’y a pas d’âge pour les braves!
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Comme tout Italien en position de responsabilité ne peut refuser quoi que ce soit à une femme en détresse aux yeux bleus suppliants, il me gratifia d’un sourire et d’un regard langoureux, la panoplie basique du parfait mâle méditerranéen. «Si, Signorina.» Toujours dans mon italien approximatif, je poursuivis: «J’ai une lettre d’amour très importante que je tiens absolument à écrire, ici et maintenant, sur le balcon de Juliette. Il en va de mon bonheur et de ma vie tout entière. Sinon je vais en être malade. J’ai déjà très mal au cœur…»
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Il y a toujours la possibilité de former un couple où chacun est libre. L’idéal. Mais ce bonheur pourrait-il réveiller mes dépendances et mes peurs de souffrir au point où je m’accrocherais, rompant ainsi notre entente et retrouvant mes souffrances? Je n’étais pas rendue au point de prendre ce risque en me faisant confiance de pouvoir y faire face.
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Avec lui, j’aurais vogué dans un grand bateau dont le voyage ne finirait jamais… Le fantasme de l’amour absolu auquel nous rêvons tous au fond de notre cœur.
Moi qui croyais avoir tout réglé dans ma vie… Voilà que celui-là m’avait troublée au point de me donner envie de changer de vie. Si j’avais écouté mes sentiments, avec lui, j’étais prête à m’engager pour le reste de ma vie. Au moins d’essayer. Il m’a fait rêver d’une grande maison à la campagne. D’un feu de cheminée.
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Le sexe peut se faire sans, mais avec, ça décuple. J’en étais arrivée à croire que le célèbre point faisait partie d’une légende urbaine. Vaut mieux tard…
Il y a des femmes qui ne le trouvent jamais, dit-on. Par solidarité féminine, je souhaite à Lise Dion d’avoir trouvé le sien !
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Dans le Kama-sutra, on enseigne aux hommes des techniques d’excitation sexuelle pour leurs partenaires. De savants effleurements, ciblés et contrôlés, font partie de la panoplie des préliminaires. Première marche vers le septième ciel…
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Notre liaison a duré une quinzaine d’années. Côté sexe, ce n’était pas simple. Il m’amenait à l’orgasme, mais si je l’avais laissé faire, nous serions entrés dans des pratiques que je ne tolérais pas. Cela le flattait de m’avoir à son bras, alors il faisait avec.
Néanmoins, derrière son masque impénétrable, il pouvait être gentil, tendre, compréhensif, à l’écoute, toujours là pour moi.
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L’amour peut vous métamorphoser. Le dernier amour de Grey Owl l’a transformé. De trappeur sans pitié qu’il était, sa femme en a fait un environnementaliste convaincu. Ma première femme (morte d’un cancer) m’a changé. Ma deuxième aussi. Quand vous avez le courage de vous abandonner à l’amour, vous vous transformez. Je ne veux ni peine ni haine dans ma vie. J’aime ma carrière et je profite de mon succès, mais c’est un jeu. L’amour, il n’y a que ça de vrai. C’est tout simple. Grey Owl était un être torturé, et je ne le suis pas.»
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La vie, quand elle décide de s’amuser, se plaît à ne pas dévoiler ses plans. C’est ainsi que je la préfère.
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«L’amour est une infidélité envers soi-même», a écrit Stéphane Mallarmé. Dans cet épisode, je ne fus pas «infidèle envers moi-même», puisque je n’ai pas répondu à mon sentiment. Quand on tombe en amour, souvent on renonce à une partie de soi. Pour plaire. Pour garder. On ne s’écoute plus. On passe en second. Si j’avais été infidèle envers moi-même, je serais allée vers ce qui m’attirait le plus, quitte à en subir les conséquences et à enrichir le tableau de chasse du séducteur. L’aventure avec Christophe m’aurait davantage comblée.
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On n’en vit qu’une ou on les vit en alternance. Ou encore on enterre toutes nos personnalités jusqu’à la prochaine réincarnation. Comme le disait Cocteau: «Est-ce bien vrai, ce mensonge-là?»
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La quintessence du roman de type Harlequin, c’est La Mélodie du bonheur. Qu’on a vu au cinéma et qui a connu un succès retentissant. Façonné à partir des mémoires de Maria Augusta von Trapp. En plus, une histoire vraie! De quoi donner espoir aux cœurs fleur bleue de ce monde.
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Quelle chose frivole que le désir: un sentiment qui naît et s’éteint sans crier gare.
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L’échange amoureux n’est-il pas la recherche d’une apothéose? N’est-ce pas le poète allemand Goethe qui a écrit que «L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs»? Dans mes cordes.
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C’était le genre d’homme capable d’accéder à un amour noble et total. Il avait de ces gestes affectueux qui rendent les paroles inutiles. Au lit, il était d’une immense douceur et d’un grand respect. Pas très audacieuses, ses caresses étant plutôt imprégnées de la chaleur du cœur. Aucune fougue, mais un intérêt qui ne s’affaiblissait jamais. Ses longues jambes musclées avaient une facilité exceptionnelle à enserrer mon corps avec douceur, ce qui avait le pouvoir de réveiller fortement mon désir de l’embrasser passionnément, ce qu’il adorait.
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Puis il me suppliait de l’emmener jusqu’aux étoiles. Là, je déployais toute ma science pour le faire frémir et jouir de partout, toujours comme si c’était notre première fois. Il en était si heureux qu’il me caressait jusqu’à plus soif, jusqu’à mon tour de le supplier de me prendre. Comme un homme.
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Il m’amusait beaucoup, le sexe était bon et je m’étais attachée à sa famille. Je m’en suis remise en me convainquant «qu’il n’était pas pour moi, blablabla…» J’étais dans une période terne de ma vie, il me l’avait colorée et je lui en étais reconnaissante. Mais ce n’était pas non plus la perte de ma vie.
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J’étais follement amoureuse. Une vie de rêve s’ouvrait à moi. Le premier amour est le plus romantique. Un fleuve qui galvanise et qu’on ne peut que suivre. Cet amour guérira toutes les blessures.
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