Puis, de courrier en courrier, les uns après les autres, il dut raconter à chaque sœur désespérée, à chaque femme inconsolable, à chaque père abattu, les opérations glorieuses auxquelles avait participé leur fils, leur mari et leur frère, trouvant les mots appropriés pour souligner leur courage, en se permettant l’audace de poser sur leurs lèvres des dernières paroles sublimes, pleines d’une poésie déchirante. (pages 32-33)