La crise faisait son bonhomme de chemin, appauvrissant le pays, mais cela ne le sauverait pas. Pendant vingt-cinq ans, l'ancien président avait conduit le pays à la banqueroute. Et c'était lui, Carmina, le criminel ? L'état ponctionnait plus du tiers des revenus de toute la population, vendait le patrimoine national au rabais, et c'était lui, Carmina, le criminel ?