Et puis, de lien en lien, je suis tombée sur "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne".
J'ai relu la phrase : "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne". Encore et encore : "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne ; "On ne devrait écrire des livres que pour y dire des choses qu'on n'oserait confier à personne..."
Ça a infusé. Et j'ai fini par penser Tope-là, Emil !