Je n’ai jamais non plus réussi à mettre du Victor Hugo en musique, et rarement du Leconte de Lisle, parce que leurs vers à tous deux sont trop pleins, trop riches, trop complets pour que la musique puisse s’y adapter utilement. Les épithètes y sont nombreuses, et, quand la musique les souligne, les épithètes prennent une proportion énorme.
(Gabriel Fauré – Mettre des notes sur des mots)