Aujourd’hui, il y a beaucoup de machines. Autrefois, les bras travaillaient dur. Il fallait prévoir, économiser. C’était l’occupation du désir. On se contentait de peu. Mais ce peu avait un prix parce qu’on le tirait presque entièrement de soi-même. Aujourd’hui, quand l’homme travaille, il pense à autre chose.
Félix-Antoine Savard