Il dégagea une de ses mains qu’il glissait par habitude dans la manche opposée de sa soutane et se saisit d’un mamelon palpitant qu’il dénuda, huma, avant de pétrir la chair blanche, faisant jaillir du lait qu’il cueillit de ses lèvres gloutonnes. Le corps tendu comme les cordes d’une harpe, Marie s’abandonnait à une volupté inconnue. Elle ne se déroba pas à cette bouche qui écrasa la sienne avant de revenir téter au sein maternel comme à une source de vie, de même qu’elle répondit à l’exploration de son intimité par de lascives ondulations.