Après lui avoir bécoté le visage, le cou, les seins, exploré de toutes parts le corps gracile de Camille qui lentement s’amollissait, Jean-Baptiste s’abattit fougueusement sur elle et, lui fermant la bouche d’un baiser-bâillon, il la déflora sans tenir compte des gémissements et contorsions, manifestations véhémentes et muettes d’un refus catégorique de s’abandonner.