J’y avais pensé, de façon obsessionnelle, depuis l’instant même où j’avais rejoint les filles, en marchant à côté d’elles, et me sentant idiot, bizarre, comme à chaque fois que j’étais en leur compagnie, cette voix dans ma tête, qui alternait les sarcasmes, « tais-toi abruti » ou « dis quelque chose, bordel ».