"— Lilas, murmuré-je, mon souffle sur ses lèvres. Tu me plais parce que quand je suis avec toi, je ressens exactement la même chose que quand j'étais enfant. […] Tu me fais respirer, […]. J'ai constamment l'impression d'être sous l'eau, en apnée, au bord de la noyade. Mais quand je suis avec toi… j'atteins enfin la surface. Tu me donnes une raison de nager et de sortir la tête de l'eau pour voir ce qui s'y passe. Est-ce que c'est une raison suffisante ?" (p.275)