Sache, Thong-Li, que toutes les beautés m’appartiennent. Je les garde enfermées en ma demeure. Toi, tu peindras un dragon sur les toiles d’araignée de chacune des mille et une pièces du palais. Si ton travail me donne satisfaction, tu vivras, vêtu de soie brodée, nourri de mets exquis, abreuvé de liqueurs rares. Mais si tu me déçois… je te ferai couper la tête !