Ce matin de juillet 1873, Gustave Courbet devrait se sentir libéré du poids de sa condamnation, mais il n’en est rien. On le poursuit encore. On le traque comme un cerf. On sonne la charge contre lui. Les chiens ont repris du poil de la bête. Une meute est à ses trousses. […] Gustave le sait : il doit décamper au plus vite s’il ne veut pas retourner en prison et voir l’intégralité de ses biens saisis.