« Rohit détacha de sa taille une longue épée très flexible, l'urmi, l'épée légendaire que seuls les soldats les plus aguerris savent utiliser. Se protégeant de son bouclier, il tournoya cette lame souple en une double sphère en forme de huit quand des étincelles jaillirent du frottement de la lame contre le sol. Tel un lasso, il tourna et retourna son épée et faucha ses attaquants sans leur laisser la moindre chance de lui échapper. Quatre mercenaires étaient déjà à terre. Les corps de ses assaillants tombèrent comme des mouches au sol, déchiquetés par l'urmi, le sang giclait de partout, une vraie scène d'horreur. Il n'en restait plus qu'un debout. Il prit appui sur un des hommes à terre et tourbillonna sur lui-même pour venir frappe le barbu à la tête de son talon, il s'affala, le visage crispé. »
Extrait de
Samsàra
Nadia Chakhari
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Ce matin là, j’ai aperçu une aigrette
Et j’ai su qu’un shadi Punjabi s’annonçait.
Tél un éventail il déploie ses plumettes,
En couronne colorée sur la tête froncé,
Habillé de son beau plumage chatoyant,
Il sautille de joie pour rejoindre le chœur,
Chantant à mon oreille des doux boliyaans.
Tandis que le tambour martèle mon cœur,
Des quissa d’amour et de patriotisme,
Au son des fortes chorégraphies enjouées,
Des femelles voilées pleines d’exotismes.
Las, Mon cœur bondit de ma poitrine gelée,
Et se réchauffe au souffle de leurs toombis,
Me trémoussant comme leurs fiers dhols Punjabi.
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Mon rajah, tu m'as sortie d'un panier sortie d'un panier de peau
Au souffle irrésistible chaud de ta pungi.
Me réveille, suis la mesure du tempo,
J'ondule les écailles du froid sarangî.
« J’envisage de me marier un jour comme toutes les filles de mon âge, mais pas par intérêt. Je veux tomber amoureuse. »