En général, je ne suis pas le genre de gars qui s’encombre avec des pensées trop compliquées. Par exemple, mon raisonnement dépasse rarement le stade du « ça va sûrement s’arranger, c’est obligé ! ». Quelle chance d’être né si stupide !!!
Au cinéma on utilise trois personnes pour un même personnage : l’acteur de composition, sa doublure, et la doublure en images de synthèse qui intervient dans le travail de prises complexes ou bien dans les scènes particulièrement dangereuses que même la doublure se refuse se faire. Le résultat est surprenant. Bien souvent, on ne se rend compte de rien. Quelque chose me dit qu’on n’aura bientôt plus besoin d’acteurs…
Mieux vaut être détesté que de vivre dans l’indifférence totale et finir par se perdre soi-même.
L’individualisme masque la vérité, seule ma parole, à nulle autre pareille est guidée par l’expression de la vérité universelle.
Ce n’est pas en devenant Hokage qu’une personne est reconnue…mais c’est en étant reconnue qu’elle devient Hokage.
J’aime la pratique des beaux-arts en soi, et je respecte les vrais artistes, mais le danger vient de ces personnes qui tentent d’établir des comparaisons entre les arts plastiques et l’art de diffusion de masse. Ils ne sont ni des artistes « nobles », ni des artistes de l’art populaire, mais de sombres charlatans.
Ce serait dommage que tu restes à l’état de bourgeon. Ça n’a pas de sens, une fleur qui ne s’épanouit pas.
Demander une bonne BD en peu de pages à un débutant, c’est comme lui confier la tâche de produire un film de SF ambitieux avec un budget ridicule. Il y a forcément des impairs, des aspects plus ou moins réussis et un manque d’équilibre, par-dessus-tout.
Les mangakas sortent peu, c’est une réalité.
Si on devait avancer une raison à cela, je dirais que c’est principalement à cause du rythme hebdomadaire de la remise des planches. Ce type de deadline accapare la plus grande partie de notre temps.
On se trouve très souvent obligés de refuser les invitations des amis, et leurs rangs s’éclaircissent avec les années. Jusqu’au jour où nos seuls amis, ce sont les membres du staff.
J’aime beaucoup la peinture à l’huile, mais ce que j’ai appris à la fac, ce sont les beaux-arts et honnêtement, c’était plutôt assez ennuyeux.
L’exercice consiste bien souvent à produire une image, sur un thème libre, pour exprimer ce que l’on a en soi. Le résultat est tellement abstrait que les auteurs sont souvent contraints de s’appuyer sur le titre et sur quelques lignes de commentaires pour expliquer ce qu’ils ont voulu dire.
Un jour, un de ces chargés de cours a amené les photos de ses œuvres. Il se pavanait d’avoir été exposé dans une galerie et d’avoir vendu plusieurs de toiles. Au fond de moi, je me disais : « Si tu as tellement envie d’être reconnu, alors fais du show-business ! »