J’ai vu le monde trop alter de la bête ; le monde trop humain des hôpitaux. J’ai perdu ma place, je cherche un entre-deux. Un lieu où me reconstituer. Ce retrait-là doit aider l’homme à se relever. Parce qu’il faudra bien le construire, c’est bon les portes entre les mondes ; parce que renoncer ne fera jamais partie de mon lexique intérieur (p 107)