Sa bouche se remplit d’une drôle de salive liquoreuse et un peu amère. C’est sa mère, cette femme magnifique et froide et inflexible, au téléphone. Peut-être a-t-elle cru que Paloma n’avait pas reconnu sa voix rauque puisqu’elle précise : C’est moi, Phénix.
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