Adolescence ou pas, puberté ou pas, je n’avais plus le temps ni de traîner au café ni d’essayer de plaire aux garçons. Je devais faire des maths, fairedesmaths, trois mots fondus, m’oublier dans des équations quasi liquides qui emplissaient tout l’espace de mon crâne jusqu’à ce que je finisse par sentir mon cerveau cogner.