Sombres sont les forêts sauvages.
Aguichantes et terribles, des crocs nichés sous leurs sourires, des griffes au bout de leurs caresses, des effrois déployés comme autant de toiles d'épeires. Et cependant, si l'on accepte d'y céder, si l'on ose oublier, un instant, les règles régentant les hommes, si l'on s'assouplit le cuir au lieu de le couvrir d'acier, elles peuvent offrir le meilleur de soi-même.