Conscient de n’être qu’un exclu, que nul ne conviait au festin, il évitait toutes les occasions d’ivresse, comme si l’ivresse lui était formellement interdite. En dehors des péripétie de sa vie en compagnie d’Oyone, il ne pouvait rien espérer. Le calme solitaire de cette soirée de réveillon, où il gardait la maison en l’absence de sa femme, était bien à l’image de la réalité ordinaire de sa vie.