Elle m'écoutait sans me regarder en face, ce qui m'inquiétait. Puis elle m'a tendu une feuille de papier où il était écrit qu'à compter de cet instant j'étais la propriété du gouvernement russe et que ma vie était protégée par la loi.
J'avais du mal à comprendre ce que ça voulait dire concrètement.
"Ça signifie que si tu essaies de te sauver, de te blesser ou de te suicider, tu seras condamné pour atteinte à la propriété du gouvernement", m'a t'elle répondu sur un ton glacial.