Dans notre lopin d'île reposent sans doute des parterres de chiens sous les roses trémières, des secrets de famille plein le jardin, nos aïeux en costume indigène dans les cadres. Il y a longtemps qu'on n'y meurt plus, pas plus qu'on y vit; la maison est un gué où poser ses sacs, allonger son corps et oublier ses lunettes.