Ce qui s' affiche, c'est une joie tranquille, une manière de vivre aussi, avec casse-croûte, dabses, musiques, chants, réunions vivantes et revendicatives, photos de groupe, solidarités entre âges, sexes, métiers, fonctions, le tout popularisé par de multiples reportages de presse. Un étrange moment de bonheur collectif, une parenthèse effervescente, comme une bouffée d'air pur. (p.15)