Je disais que toute tentative pour prévoir l’avenir fascinait et, dans le même temps, suscitait une immense résistance irrationnelle. Provoquait une inquiétude panique qui est indéniablement identique à la crainte de la fatalité que l’humanité affronte depuis l’époque d’Œdipe. Au fond, les gens ne veulent pas connaître l’avenir.