Devrions-nous vraiment souffler le nom manquant à un ami ou à un patient qui a oublié le patronyme de quelqu’un ? Moi qui n’ai aucun sens de l’orientation, qu’est-ce que je préfère ? Qu’on m’évite de partir dans une mauvaise direction ou qu’on me laisse m’escrimer à trouver le bon chemin par moi-même ? Jusqu’à quel point quiconque aime-t-il qu’on lui « dise » quoi que ce soit ?