Le chat est notre intercesseur, un passager alternativement ici et là, un peu domestique et un peu sauvage, impossible à posséder à et à retenir, et dont il faut accepter, si l'on veut pouvoir le suivre, les manifestations d'indépendance et l'imprévisible liberté. On aime le chat parce que tout en étant un compagnon des hommes, il ne cesse de leur échapper" (p. 60)