On le voit, il n’y avait pas derrière cette façon d’être de grands principes sur ce que doit être la paternité. C’était simplement le bonheur de vivre des choses ensemble, le plus possible de choses ensemble. Il y en eut tellement que j’en garde avant tout cette idée de plénitude, la certitude de vivre là la meilleure part de ma vie.