"Heureux qui trouve un véritable ami. Plus heureux qui en sa femme trouve une véritable amie", écrit-il dans son journal le 8 septembre 1816. L'amitié est un besoin vital, un moyen de s'élever ensemble vers le Beau (...). C'est de l'amour grand et vrai qui ne dit pas son nom. "Jamais je ne calculerai avec mes sentiments. Ce qui est en moi, je le donne tel quel", écrit-il à son frère Ignaz.