Les marais lui laissaient cette liberté de comportement. Il en profitait pour hurler, chanter, rire, raisonner à ciel ouvert, faisant des oiseaux les seuls juges des fluctuations de ces états d'âme. Il avait l'habitude des moqueries du ciel que lui servaient des mouettes rieuses, ambassadrices aériennes de mauvais esprit (...) (p. 123)