Dans ces temples du tout-chimique, la folie, plus ou moins douce, était soignée à grands coups de molécules. À ses yeux, ses confrères ne réglaient rien. Ils différaient l’explosion de la maladie, la contrôlaient par le biais des camisoles neuroleptiques. Pour lui, il fallait prendre le mal à la racine. Non pas soigner les cellules, mais guérir l’âme.