Olivier Maurice

Ce texte, qui résume vraiment tout, a été publié dans le journal en ligne « Contrepoints ».

Il a fait l’objet de nombreux commentaires favorables dans ce média.

L’auteur a travaillé dans divers pays étrangers, ce qui offre de nombreux points de vue (au sens physique du point où l’on voit), donc un esprit plus ouvert, un sens plus critique…

Tout comme sous l’Ancien Régime, la France est sclérosée par ses corporatismes. Et tout particulièrement étouffée par sa caste bureaucratique dominante, composée de clones formatés dans cette école de cadres, façon République populaire, qu’on appelle l’ENA.

Et ils font partie de ces fameux « riches », contre lesquels certains d’entre eux ont le culot de jeter l’opprobre. Cependant, dans leur cas, l’aisance n’est pas obtenue en servant les consommateurs, mais par le moyen de la coercition.

Pour se maintenir au pouvoir, ils appliquent parfaitement l’adage « diviser pour régner » en spoliant une partie de la population, celle du secteur privé, au profit d’une autre, celle du secteur « public ». Mécanisme très bien expliqué dans l’ouvrage de Serge Schweitzer « Pourquoi la révolte fiscale n’aura pas lieu ».

Olivier Maurice y fait allusion dans son texte.

Il est à souhaiter que nous n’arrivions pas à l’issue que l’auteur envisage comme possible, celle de la révolte. Mais plutôt que le progrès technique permettra à la société civile de réussir à contourner le « système ». Point de vue défendu par Gustave Lebon, à propos de l’inutilité de la Révolution française dans son ouvrage « La Révolution française et la psychologie des révolutions ».

Le théoricien de l’ordre social, Hayek, pose la question de savoir si une société de liberté peut se fonder sur la violence. Quand on voit le résultat avec la Révolution française, il est bien évident que la réponse est négative.

Plus récemment, on a pu constater comment le mouvement des « gilets jaunes », cité par l’auteur, a été progressivement récupéré par les ennemis de la liberté, toujours aussi habiles et bien organisés…