Finalement j'optais pour Bonicart qui accepta sans enthousiasme, alors que je reste convaincu que Mbagnik eût été plus sensible au geste [d'être le témoin de Jean-Baptiste] si le choix s'était porté sur lui. On nourrit ainsi quelques regrets éternels dans son existence, et celui-là en est un qui me peine quand le hasard y porte mes pensées.