Lorsqu’il dit « oui » à l’officier d’état civil qui procédait au mariage, Mevlut sentit qu’il pourrait remettre en toute confiance sa vie entière entre les mains de Rayiha et se fier à son intelligence. Il comprenait que se couler dans le sillage de son épouse sans s’inquiéter de rien – comme ce serait le cas durant tout leur mariage – lui faciliterait la vie et rendrait heureux son enfant intérieur. P 270