J’étais même incapable de faire des visites. La porte d’une personne me mettait plus mal à mon aise que si elle avait été la porte de l’enfer de la Divine Comédie ; derrière cette porte, j’imaginais des bêtes inconnues, puantes, semblables à des dragons effrayants qui grouillaient ; je peux dire sans exagérer que cette sensation était pour moi réelle.