Le lendemain à l’aube, cet homme m’a forcée avant que j’aie le temps de faire quoi que ce soit. Ce jour-là, mon fils sur le dos, je suis néanmoins allée au travail comme si rien n’était arrivé. Mon mari était en train de lire le journal à une table, une coupe de saké posée devant lui. Les rayons du soleil matinal donnaient sur la coupe, et j’ai pensé que c’était très joli.