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Critiques de Oscar Huguenin (2)
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L'héritage de Blaise

le roman le destin de Blaise se déroule dans la campagne de Neuchâtel au xvsiècle qui porte en elle les stigmates de l'inquisition . la famille de Blaise marginalisée par son mode de vie survit grâce au jeune garçon qui pêche dans l'étang , soigne sa mère malade qui ne tarde pas à mourir,et de sa grand mère très vieille,impotente dépendant totalement de son petit fils qui avec amour la soigne et lui donne ses repas.cette vieille femme est toujours crainte par les habitants de la région qui l'accuse de sorcellerie et d'avoir échappé à l'inquisition.Blaise supporte cet mise à l'écart avec souffrance et solitude .

l'auteur Huguenin fait une très belle description de la campagne et de la société hiérarchisée où cohabite les pauvres,les bourgeois,les paysans. Le jeune Blaise ne comprend pas ce qui lui vaut cette mise à l'écart.Il reste malgré tout confiant en son destin et connaîtra des jours meilleurs.

le roman est émouvant et bien écrit . IL traduit avec justesse la mentalité campagnarde du XVsiècle sortant juste de l'inquisition et ses excès,les plaies ne sont pas encore pansées.
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L'armurier de Boudry

L'auteur s’est attaché à narrer dans ce roman les événements de la « Réforme » au 16ème siècle, dans le village qu’il habitait, Boudry près de Neuchâtel en Suisse. Appuyé sur un travail d’archive, il écrivit un roman agréable à lire, qui nous présente une peinture vivante de cette époque que nous observons par les yeux du jeune Claude Moïse, compagnon armurier dont nous partageons les aventures.
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Quiz des sommets

"– Non, pour te le dire franchement, je ne trouve pas que ce soit si formidable, dit Hans Castorp. Où sont donc les glaciers et les cimes blanches et les géants de la montagne ? Ces machins ne sont tout de même pas bien haut, il me semble. – Si, ils sont haut, répondit Joachim. Tu vois presque partout la limite des arbres. Elle est même marquée avec une netteté particulièrement frappante, les pins s’arrêtent, et puis tout s’arrête, il n’y a plus rien, rien que des rochers, comme tu peux t’en rendre compte. De l’autre côté, là-bas, à droite de la Dent Noire, de cette corne là-haut, tu as même un glacier. Vois-tu encore le bleu ? Il n’est pas grand, mais c’est un glacier authentique, le glacier de la Scaletta. Piz Michel et le Tinzenhorn, dans le creux, tu ne peux pas les voir d’ici, restent également toute l’année sous la neige. – Sous la neige éternelle, dit Hans Castorp. – Oui, éternelle, si tu veux. Oui, tout ça est déjà assez haut, mais nous-mêmes, nous sommes affreusement haut. Songes-y. Seize cents mètres au-dessus du niveau de la mer. De sorte que les altitudes n’apparaissent plus beaucoup."

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Thèmes : peinture , montagnes , ascension , alpinisme , paysages , littérature , symbolisme , nature , romantismeCréer un quiz sur cet auteur

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