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Biographie :

Pablo Medina is a Cuban American poet and novelist, Professor in the Department of Writing, Literature, and Publishing at Emerson College and Director of its MFA Program.
Medina was born in Havana, Cuba and emigrated to New York City in 1960. He received an M.A. degree from Georgetown University.
Pork Rind and Cuban Songs (1975), Medina’s first collection of poems, was the first publication by a Cuban author written directly from the English language. His memoir, Exiled Memories (1990), was the first of several autobiographical accounts to be published from the generation of Cubans who emigrated to the United States after the Cuban Revolution. Medina chronicles early memories from his childhood in Cuba as well as his arrival in New York City; the memoir is a personal reflection on his own self-identity, irreconcilably divided between Cuban and American culture. Among his recent publications are a collection of translated poems by Virgilio Piñera, The Weight of the Island: Selected Poems of Virgilio Piñera (2015) and a collection of original poems, Island History: Poems (2015), The Cuban Comedy (2019).

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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
D'abord tu rêves, ensuite tu espères, et enfin tu travailles pour que cet espoir devienne réalité.
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José Maria dit que des forces historiques étaient à l'œuvre.
Ne me parle pas de l'histoire. J'en sais assez pour être convaincue que si elle change les gens, les gens eux, ne la changent pas. Dire que l'histoire est comme un fleuve, c'est une absurdité. L'histoire est un ouragan. On ne change pas le cours d'un ouragan.
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La poésie est une respiration, régulière et rythmée, elle ne peut être enfermée. Elle est aussi profonde et légère qu'un rêve, elle frappe comme l'éclair et glisse comme l'eau ou la fumée, elle se lie et se libère. La poésie exalte et condamne, elle vole comme un papillon ou comme un corbeau. La poésie brise et la poésie brûle, elle construit des châteaux et les disperse. Je n'aime pas la poésie et je l'aime. Je la construis et elle me construit. C'est un voile, une brèche, un festin, une famine, parfois la guerre, jamais tout à fait la peau, des réponses qui sont des mensonges et des questions qui sont la vérité. La poésie est un piège.
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Pour ces filles, rien d'autre n'existait que l'espoir d'être demandées en mariage par des hommes en vue. À mesure qu'elles vieillissaient, que leurs traits s'empâtaient et que la fatigue les courbait, leurs espoirs se fanaient. Les plus malignes retournaient dans leurs barrios, épousaient un des leurs, avaient des enfants et laissaient leurs romans prendre la poussière dans un placard; les autres s'accrochaient à leurs rêves jusqu'à ce qu'ils soient devenus des cauchemars.
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Il ne lui était pas venu à l'esprit que, dans le monde purement littéraire, le héros est enfermé dans l'attente, l'attente de l'amour, de l'action, de la résolution, de la fin. Ces héros et héroïnes sont nos doublures. Comme nous, ils attendent et attendent puis n'attendent plus du tout.
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« La poésie est une respiration, régulière et rythmée, elle ne peut être enfermée. Elle est aussi profonde et légère qu'un rêve, elle frappe comme l'éclair et glisse comme l'eau ou la fumée, elle se lie et se libère. La poésie exalte et condamne, elle vole comme un papillon ou comme un corbeau. La poésie brise et la poésie brûle, elle construit des châteaux et les disperse. Je n'aime pas la poésie et je l'aime. Je la construis et elle me construit. C'est un voile, une brèche, un festin, une famine, parfois la guerre, jamais tout à fait la peau, des réponses qui sont des mensonges et des questions qui sont la vérité. La poésie est un piège. »
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Le premier amour d'un garçon est quelque chose de sacré qui ne trouve d'autre issue que les sentiers de l'imagination qui tournent et virent sur eux mêmes en quête de l'être aimé, fantôme insaisissable de soi même.
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Être mère, qu'est-ce que cela voulait dire, de toute façon ? Était-ce une question d'instinct, à l'image de la façon maternelle dont les animaux se conduisent et sans faire de choix ? Les poules s'occupaient des poussins, les truies s'occupaient des porcelets, les chiennes s'occupaient des chiots. Après un certain temps, les mères perdaient tout entrain, et la portée était livrée à elle-même. Chez les humains, on considérait que quelque chose clochait chez les mères qui n'étaient pas dévouées corps et âme aux soins de l'enfant.
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La mort te libère de tout : des balles, du feu, des éclats d'obus, de la fumée. La mort te libère d'elle-même. Personne ne meurt deux fois.
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La poésie était une épidémie, et il n'y avait rien à faire sinon attendre qu'elle suive son cours.
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